Quel est le métier le plus noble ?

Le médecin, plus communément appelé médecin, est un spécialiste de la santé. Qu’il soit omnipraticien ou spécialiste, il reçoit des patients pour consultation, établit des diagnostics, demande des examens et prescrit des traitements pharmaceutiques ou hospitaliers en fonction des problèmes de santé. Il assure un suivi de ses patients tout en conservant un rôle préventif dans le domaine de la santé.

Apprenez-en plus sur la profession de docteur en médecine à travers les témoignages de Marine, Elise et Baptiste et découvrez comment devenir médecin ainsi que la formation à suivre, le salaire et les qualités requises.

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En quoi consiste la profession de médecin ?

Baptiste : Je suis médecin urgentiste depuis quelques années. Je m’occupe de patients souffrant de diverses pathologies. C’est une profession qui nécessite des connaissances importantes et des compétences spécifiques en fonction des examens. Notre objectif, tant que médecin, est de traiter les coûts des personnes qui nous sont amenées par le services d’urgence.

Elise : En tant que médecin généraliste, je reçois des patients malades dans mon cabinet ou je vais les voir à la maison. Ils m’expliquent ensuite ce qui ne va pas en me décrivant les symptômes, puis je les examine pour définir un diagnostic. Selon le problème, je leur prodiguer des soins ou leur prescrire un traitement pharmaceutique. Si nécessaire, je les réfère à un spécialiste ou à un hôpital pour des examens plus approfondis.

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Marine : Le métier de médecin est très différent selon l’endroit où vous pratiquez. Bien que notre objectif soit le même, c’est-à-dire traiter un patient, le fait d’être omnipraticien dans un cabinet n’a pas grand-chose à voir avec le fait d’être médecin dans un hôpital. Mais d’une manière plus globale, notre travail consiste à pratiquer des examens médicaux pour définir un diagnostic et prescrire un traitement qui traitera le patient.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre travail ?

Baptiste : C’est une vraie passion. Ce que j’aime le plus dans ce travail, c’est de sauver des vies. C’est pourquoi j’ai choisi la médecine d’urgence.

Elise : Ce qui me plaît le plus dans ce travail, c’est l’échange et le dialogue avec les patients que je suis depuis des années. Nous créons ensuite une véritable relation privilégiée avec ces personnes.

Marine : Il n’y a pas de travail plus noble que celui de médecin. Guérir les gens est une véritable vocation.

Qu’est-ce qui vous plaît le moins dans votre travail ?

Baptiste : Ne vous trompez pas, c’est un travail épuisant qui nécessite une endurance à n’importe quel test, physique et psychique. Ce n’est pas facile tous les jours, mais c’est toujours excitant.

Elise : Notre rythme de travail est plus que soutenu. Je peux voir plus de trente patients par jour. Les journées sont alors fatigantes, surtout si vous n’êtes pas très en forme.

Marine : Nous manquons de médecins dans notre pays, ce qui signifie que les conditions de travail sont parfois loin d’être optimales. Il existe également de véritables déserts médicaux : c’est inacceptable.

Quelles sont les qualités requises pour effectuer ce travail ?

Baptiste : Il faut savoir rester calme et calme pour garder la tête froide et prendre les bonnes décisions en cas d’urgence.

Elise : La santé des patients est en jeu, ce qui exige du sérieux en tout temps. Vous devez également être disponible pour pouvoir les écouter et discuter avec eux.

Marine : Il faut bien sûr être un travailleur mais aussi curieux car on ne cesse jamais d’apprendre et de s’entraîner en suivant l’évolution de la médecine.

Quelle est la formation pour devenir médecin ?

Pour devenir médecin et obtenir le diplôme d’État de docteur en médecine, il faudra suivre un cours de 9 ans (pour les médecins généralistes) et de 10 ans ou 11 ans (DES médecine générale pour spécialistes) divisé en 3 cycles :

• Le premier cycle de deux ans comprend la première année commune d’études sur la santé (PACES). C’est l’année de la sélection par concours avec un certain nombre de places limitées par le numerus clausus. La sélectivité est sévère puisqu’il n’y a que 20 % d’entre eux admis.
• Le deuxième cycle se déroule sur 4 ans et consiste à enseigner les bases théoriques de la médecine et à effectuer des stages en milieu hospitalier. À la fin de la troisième année, l’étudiant doit obtenir le diplôme d’enseignement général en sciences médicales (DFGSM).
• Après 6 ans de formation au cours desquels il aura acquis une formation médicale complète, le futur médecin devra passer l’examen national de classification (ECN) dont les résultats lui permettront de choisir sa spécialité et la région où il souhaite effectuer son stage.
• Le troisième cycle, en revanche, représente une véritable immersion dans la profession. Il s’agit d’un stage de 3 ans pour les médecins généralistes et de 4 ans à 5 ans pour les spécialistes. Ils obtiennent ainsi un DES (diplôme d’études spécialisées) ou DESC (diplôme d’études spécialisées complémentaires) qui valident leurs compétences. Ils doivent ensuite soutenir une thèse afin d’obtenir le diplôme d’État de docteur en médecine.

Y a-t-il un concours pour faire ce travail ?

Dans l’ordre pour exercer la profession de médecin, il faudra réussir le concours à la fin de la première année (PACES). Les places sont limitées par le numerus clausus et seuls 20 % des candidats sont admis chaque année.

Y a-t-il des écoles spéciales dans cette région ?

Non.

Quel est le salaire d’un médecin ?

Le salaire d’un médecin varie énormément en fonction de son statut, de son mode de pratique et de la région dans laquelle il s’est installé.

En moyenne, un médecin généraliste gagne entre 3000€ et 8000€ par mois.

Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui souhaitent faire ce travail ?

Baptiste : L’un des principaux obstacles pour devenir médecin est le concours qui se déroule à la fin de la première année de médecine. Les places sont chères et le nombre de laissez-passer n’est pas illimité. Il n’y a pas de secret, pour réussir, il faudra beaucoup travailler.

Elise : C’est un travail passionnant qui vous permettra de pratiquer dans différents contextes. Et le nombre de voies disponibles pour le médical les étudiants sont phénoménaux.

Marine : C’est un beau travail qui mérite d’être donné à 100% pour y accéder. Si vous avez la vocation, donnez-vous les moyens de le faire et de travailler dur.